#Identité




Nom : Kosake

Prénom : Yukihiro


Nom complet : Yukiro Kosake de Wolfgang

Race et Clan : De nombreux noms désigne la race dont je fais partie. Garous, chiens, chimères, pourtant, nous sommes des Lycaons... Rien de plus simple, rien de moins. Pourquoi chercher ailleurs une réponse alors qu’elle est devant vous ?

Âge

Physique : L’apparence d’un jeune homme de dix sept ans... Il me semble, à moins que je ne me trompe...

Depuis la naissance : vingt ans ? Trente ? Voir plus ? Je l’ignore... J’ai perdu une grande partie de mon passé....

Fonction : (Vampires Lycans Nokemono et Rébellion humaine) (A déterminer avec l'admin)

Pouvoirs et arme : J’en possède quelques uns mais jamais encore utilisés. Enfin, dans mes souvenirs qui me font légèrement défaut. Une mémoire morcelée n’est jamais conseillée à quiconque... A part si, une fois.... Mais passons, je ne veux pas y repenser.

Par ma nature, la nyctalopie ne m’est pas inconnu.... Voir au crépuscule me semble aussi facile que de contempler de mes prunelles vermeilles le monde en plein jour. Silencieux, je me déplace furtivement telle une ombre funeste dans la nuit, profitant de sentir l’effluve de sentiment se dégageant de mes rares proies que cela soit l’amour, la peur, la tristesse... Même si une légère préférence pour la peur... Et la paralysie traversant leurs corps au moment où mes crocs s’approchent de leurs nuques ... Divertissant. Pourtant, je ne fais guère partie des adorateurs de la violence. Non... Je ne me délecte du liquide carmin et ferreux que pour me nourrir. Jamais pour m’amuser...

Calme, je me sers de mes instincts pour parler avec les bêtes, les canidés entre autres... Il m’arrive de devenir un loup au pelage d’ébène et aux yeux d’ors pour visiter les ruelles et rues vides par habitude... Vous voulez savoir mes autres armes ? Je n’en vois pas d’autre. A part mon agilité qui peut parfois me sortir de certaines situations réellement ennuyeuse... Voir dangereuses.

#Description

Physique et style vestimentaire :

De visu, les regards se posant sur mon visage de chérubin me prendrait pour un rebelle refoulé devant les mèches colorées teintant ma chevelure d’ébène m’arrivant à la nuque. Cela passe de l’indigo au pourpre selon mes humeurs et les sentiments maussades qui me gagnent... Quelques fois quelques reflets carmins se rajoutent à l’arc en ciel de couleur sur ma toison soyeuse tout en restant décente. Je n’ai guère envie qu’on jette sur moi des regards d’appréhension... Je préfère de loin celui de gourmandise qui reflète de nombreuses pensées frivoles en observant mon corps sans pour autant qu’on ne mette à bien l’envie de luxure ... Je ne suis point un jouet et encore moins un sucre d’orge à savourer de la langue... Vous me compreniez... Le plaisir ne vient que quand on sait attendre... Et non dans l’inverse...

Maintenant que vous connaissiez ma coupe de cheveux, si nous passons à mon visage exquis et innocent ? Mon regard vermeille et profond trahissent un être innocent et qui peut se montrer pur et non violent. Une peluche si vous le préférez. Mes yeux en amande augmentent mon air d’angelot ou de sain... Mes lèvres rosées et fraîches sont pulpeuses et attirent irrémédiablement à la tentation de vouloir s’en emparer pour un baiser passionné... Mais gares à la morsure... Cela peut faire mal. Un baiser certes mais seulement lorsque j’en ai envie. Donc jamais... Je vous souhaite bien du courage pour goûter à ma bouche...

Je suis tout en finesse et mes muscles taillés dans de l’acier liquide démontrent un jeune homme agile mais d’une rare délicatesse ... Mes doigts sont fins et délicats me permettant de jouer habilement de la harpe. Ma peau doucement caramélisée possède un grain satinée au toucher semblable à du satin et à l’odeur sucrée... Enivrant les sens d’un désir de possession à mon égard et me faire sien pour une nuit endiablée et chaude... Un partenaire soumis et avide de sentir des mains parcourir les courbes de mon corps athlétique et fin pour l’éternité. Et une langue me rendant fiévreux.

Mon style vestimentaire passe du classique au gothique ou stylisé... Difficile, je peux me parer d’une veste en jeans blanche légèrement nacrée recouvrant un sous-pull gris afin de me préserver du froid. Car oui, je le crains... Je suis petite nature par habitude de rester près de l’âtre un livre entre mes mains... Même si la nuit je sors me nourrir lorsque la faim de chair m’est intenable... De nombreuses poches me permettent de poser de nombreux objets en celle-ci dont un canif. Un jean couleur de la nuit cache mes jambes et suit parfaitement le galbé de ma croupe attirant le regard... Aimant la liberté, mes chaussures sont principalement des baskets ou chaussures cirées quand ma garde robe est classique. Parfois, et, à la demande de l’être qui pourrait capturer mon cœur, j’utilise un ensemble manteau et pantalon de cuir noir me rendant irrésistible.

Moi sous ma forme Humaine :



Sous ma forme de Lycan





Sous ma forme animale :




Caractère :

Comment vous expliquer mon caractère ? Par quoi vais je commencer ?

Je suis un être tendre qui a bien du mal à me mélanger à un groupe... Je préfère de loin la compagnie de mes livres et me trouver sur un fauteuil au coin de l’âtre. Les recueils me semblent si intéressants comparés à des individus peu scrupuleux souhaitant me faire découvrir la beauté de la violence malgré que moi, je ne souhaite qu’avoir une vie tranquille. Même si j’avoue que lors du crépuscule de mes crocs je me nourris de la chair d’humains. Inconvénient de ma nature qui s’ajoute des avantages que pour rien au monde je ne cèderais... Voir la nuit, comprendre la langue des canidés sont des dons si chers à mon âme. Je préférais de loin que la grande faucheuse m’emporte dans son sillage qu’on me laisse seul et démunis de ces dons particuliers.

Grand solitaire, ma confiance reste difficile à acquérir comme si quelque chose l’en empêchait. Est ce dû à cette fameuse nuit qui a provoqué le déchirement de mon âme ? Je le crois bien... Elle fut si violente et choquante que des cauchemars me hantent m’empêchant d’avoir un sommeil réparateur tant aimé... Et provoquent des frissons de peur lorsque je sens en mes tortionnaires ou ennemis montrent le désir de me faire sien. Torturé ? A demi, et ça, je ne peux le nier même si je regrette d’avoir pas pu l’en empêcher... Posant une main sur mon coeur et contemplant la pleine lune, je murmure silencieusement ma prière de voir ma vengeance un jour assouvie. Par désir de retrouver la paix...

Fidèle pour l’éternité, mon amour sera à jamais offert pour la seule personne qui arrivera à me faire redécouvrir le plaisir des caresses et des pensées frivoles. Sentir des mains aux touchers de satins sur ma peau créant mille et un frissons en ma chair me rendant fiévreux et avide d’autres plaisirs charnels... D’acceptation de m’offrir à ses envies et idées tant que je ne sois abandonné comme un animal heures après heures. Nuits exquises après nuits exquises.. pour de chaudes étreintes...

Non violent, je ne peux accepter que mes amis ne souffrent d’une quelconque façon. Je pourrais me sacrifier pour éviter leurs visages déformés par la douleur qu’importe le prix que j’en paie... Tant que leurs vies ne sont plus en jeux c'est le plus important... Même si je prend le risque de me retrouver longtemps prisonniers de mains mal avisés... Je ne regrette pas mes choix et les assume jusqu’au bout...

En dernier, sur ce que vous devriez savoir sur mon caractère. Je suis amnésique et il peut s’avérer que parfois mon caractère devint changeant. De gentille peluche aimant se faire bichonner à un être perdu ne désirant qu’une chose, retrouver les histoires de mon passé. Recoller les morceaux perdus pour retrouver ma totale intégrité...


Relation :

Je n’ai pas à proprement parler d’ennemi car je fais partie des pacifistes. Même si je me faisais torturer j’ignore comment je réagirais à ce moment. Mal ? Bien ? La question me reste inconnue. Cela peut dépendre de mon état physique et psychique... Mais surtout du temps où la torture durera... Je suis certes tendre mais mes instincts de lycaons me dictent une certaine liberté.... Et ressortent en de rares moments.

Comment je suis avec les miens, mes frères de meutes ? Solitaire... Mais même si j’agis ainsi, cela n’empêche pas que mes sentiments à leurs égards sont fraternels et cachés. Je tiens à éviter de montrer réellement ce que je ressens par crainte de souffrir de nouveau ou montrer ma facette sensible. Mon coeur tendre refuse la violence et cette malentente entre Garous et vampires.



#Histoire d'une vie

Histoire :


A venir plus bas



#Détails

Manie ou tics : Parfois je me lèche le poignet mais d’où vient cette manie ? Je ne m’en souviens pas.

Orientation sexuelle : Je suis tendance bisexuel malgré le fait que je préfère de loin les hommes. Dangereux de surcroît.

Autre/Signe particulier : Étant amnésique, tout mon passé est morcelé et je ne me souviens plus de ma famille, mon nom et autre élément pouvant permettre de m’identifier.

Autre chose, je porte autour de mon cou une étoile qui représente beaucoup pour moi. Ma mère qui me l’avait offerte pour mon anniversaire il y a des décennies...

En dernier, je possède un loup qui ne vieillit plus car il est attaché à ma famille, principalement à moi ... Son nom est Shirikano...

Le Loup en question.



Personnalité sur l'avatar : Ajoo ou encore Valentine's boy

# Vous

Surnom :Zaza (dédicace pour toi Ryu ;) ), Micky, et d’autre.

Age : Majeur et vacciné. (bon ok je plaisante.) 23 ans

Moyenne de connexion : euh tous les jours mais cela dépends de mes activités à côté du pc.

Moyenne de lignes par rp : Ouh là. Êtes vous sur de vouloir le savoir ? Oo Euh entre une page works et deux en times news romans, ça en fait combien ?

Après avoir compté, cela peut dépendre entre 60 lignes, 150 lignes ou encore plus. Cela dépends du joueur et si mon post est celui de départ ou non...

Comment avez-vous connu le forum : Partenariat et j’ai ramené mes petites fesses après ici.

Comment trouvez-vous le forum :Miam. *w* Ou je serais pas là voyons. Pas dur à deviner. Et
puis, j’aime bien les admins. :D Autant en profiter. ^-^

Bienvenue chère soeur morfale XD !!!!!

T'aime bien les admins, et les modo alors ???? On pue ????

ouai d'abord!!
ça doit être ça XD on doit pas sentir la rose XD

bienvenue quand même XD
gambatte pour la suite de la fiche!!!!!!

Bah oui je t'aime bien Shin ^-^

Ou je ne serais pas venu ici. :)

Merci à toute pour cet accueil.

Yuki : Euh. Pourrais tu éviter de l'écraser ? Je voudrais bien prendre vie et ne pas être abandonné avant l'heure T_T

Mais non tu ne pu pas Chiyoko.

*La prend dans ses bras pour montrer que c'est l'inverse ainsi que Tsuki.*

Pas de souci pour mon histoire. Elle sera croustillante à souhait. ^-^

Dites, vous pourrez essayer de me trouver un nom de famille ? Je vois pas quoi mettre pour faire un nom complet ...

Bienvenue Zaza !!!!! Bonne chance pour ta fiche !!! Tu sais tu peux laissé Kosake en nom, cela te va bien !!!!

l'Histoire :




Les crépitements de l’âtre s’entendaient dans la cheminée, réchauffant la pièce où je me réfugiais souvent, assis confortablement dans le fauteuil de velours d’ébènes et de carmins... Un livre de verveine entre les mains m’envoûtant d’une curieuse façon qui me donnait l'envie d’en connaître d’avantage sur les écrivains de différentes époques. Principalement du XVII et du XVIII siècles. Je les admirais tant.... Ces recueils d’histoires, de poésies et légendes diverses que j’avais étudié tant et tant de fois... Que je ne pouvais les compter. Et que je prenais un certain plaisir à relire... Sous le regard protecteur de mon loup. qui ne cessait d‘écouter les voix venant de la salle du banquet ... Nombreuses... Trop.. Une réception à l’honneur de mes vingt et un ans... Une fête qui me semblait trop futile. Moi qui restais toujours un cœur tendre et un grand solitaire. Je savais qu’on viendrait bientôt me mander pour que je puisse me montrer aux regards curieux... Pourquoi mes parents n’avaient pas organisés un anniversaire qu’entre nous ? J’oubliais parfois la notoriété et le nombre faramineux des membres composant notre famille... Ne les voyant que très peu...

Beaucoup désirez m’offrir à telle ou telle promise sans succès... Je déclinais gentiment leurs demandes. Je n’avais pas encore de place pour m’embrouiller avec l’amour. Je savais qu’il viendrait un jour, me tombant dessus et me rendant fou et fiévreux. Mais pour l’instant, non, ma solitude me satisfaisait grandement. Je n’ignorais point que je les peinais... Mes parents désiraient que je perpétue le nom de notre famille car n’ayant qu’un unique enfant, à leurs morts, il disparaîtrait pour toujours. Wolfgang.... Ce nom m’emplit de nostalgie... Surtout lorsque mon regard de braise se pose sur l’écusson accroché au dessus de la cheminée. A cause de cela, de lourdes responsabilités trônaient sur mes épaules, la promesse de ma famille, les responsabilités de mon rang, les cours et professeurs m’enseignant diverses leçons sur l’art et la musique, le maniement des armes, les formes de langages et tout ce qu’un lycaons de pur souche et noble de sang devait connaître. Tout cela m’ennuyait sauf tout ce qui s’apparentait à la musique et à la littérature.. Cela entrait dans mes cordes et mon âme tendre.

Posant mon livre au bord du bureau de merisier, mes doigts attrapèrent une plume d'oie et un parchemin de papyrus. Trempant l’embout à l’intérieur de l’encre bleue nuit, je glissa mes mots sur la feuille comme les mains d’un harpiste sur son instrument. J’entamais une nouvelle poésie lorsque mes sens m’avertirent qu’une présence venait de pénétrer dans le salon. Mettant de côté ma tâche, mes prunelles sanglantes observèrent le gouvernant de notre demeure, sans sourciller. Voyant que mon attention et celle de mon compagnon se portaient sur lui, l’homme abaissa sa tête par respect alors que sa voix grave résonna entre les murs.

« Jeune sieur Wolfgang, vos parents vous mandent à la salle du banquet et vous ordonnent de vous parer de vos plus beaux atours... Ils refusent toute contestation de votre part. »

Soupir. Moi qui n’apprécie pas me vêtir de nobles étoffes, je n’avais pas le choix que d’obéir aux ordres à demi dissimulés de mes parents. Bien avant de me changer, je pris soin de ranger mon poème dans la commode m’appartenant. Fermant le tiroir à double tours, je pris soin de vérifier qu’il était parfaitement verrouillé. Mes écrits ne concernaient que moi et non des regards curieux... Soupirant, je me leva majestueusement de mon fauteuil de velours. Passant devant le gouvernant, mes lèvres s’étirèrent formant un sourire innocent en preuve de respect à son égard. Puis, mes pas me guidèrent à ma couche si prisée par de nombreuses conquêtes qui auraient voulu goûter de leurs langues mon corps caramélisé et intouché. Mais jamais aucunes ou aucuns d’entre eux n’ont pu mettre en acte leurs rêves. La luxure et toute pensées frivoles ne venaient pas hanter mes nuits... Une âme pure... Un diamant tant désiré mais impossible à attraper.

Scrutant ma chambre de mes prunelles de braises, je les déposa sur mon armoire d’ébène finement sculptée. Ouvrant les portes, je détailla minutieusement chacune d’entre elles cherchant celles qui conviendraient parfaitement aux courbes de mon corps et à l’élégance inégalée. Bientôt je trouva mon plaisir. D’ébène et d’opale, taillée avec finesse. Shirikano me souriait à sa façon alors que mes frusques retombaient au sol dévoilant mon corps entièrement nu... Il était pour moi hors de question que je revêtisse mes plus beaux apparats sans être propre... Me surveillant de ses yeux d’ors, il prenait un soin particulier que personne ne viendrait me déranger pendant ma toilette. Mon loup me connaissait suffisamment pour comprendre mon refus d'être dérangé durant ce moment de pur délice...

Le contact de l’eau chaude contre ma peau me faisait frémir... Me faisant oublier que bientôt je devrais me présenter à une foule avide de me découvrir pour sûrement me mander une tierce fois ma main... Affligeant qu’on mette de côté mon désir d’être seul et d’espérer au fond de mon âme que celui qui arrivera à me conquérir soit un homme ténébreux... Me savonnant minutieusement, je pris une grande attention à ne rien oublier. Soigné, je ne pris pas attention aux grognements de mon loup, trop occupé a essuyer les perles d’eaux gouttant le longs de mes courbes. Puis, le temps d’un battement de cils, je pris entre mes doigts mes habits. Un pantalon de soie opale faisant ressortir d’une façon exquise ma croupe, orné d’une ceinture de cuir noire, surmonté de mon manteau d’opale entrouvert et en dernier un maillot nacré... Par souci de coquetterie et de dignité, je bouclai autour de ma nuque délicate une cravate couleur de la nuit. Parfait... Je respectais de cette manière la volonté de mes parents que je soies présentable...

Plongeant mes prunelles carmins en celle de mon compagnon, je caressai sa tête contournant les lignes de son crâne pour chatouiller derrière ses oreilles. Durant cet échange ou l’or affronta le sang, une rare complicité se lisait entre nous. Unique. Comme si nous étions que nous deux en cette grande bâtisse familiale malgré qu’une trentaine de personne m’attendaient. Moi, l’invité d’honneur de ce moment festif... Reprenant mon souffle, je laisse mes pas me guider à la salle du banquet, de ma démarche féline accompagné de Shirikano. Ouvrant les portes, je pénétra le seuil captivant le regard des invités qui attendaient avant tant d’impatience ma venue. Ne prenant pas garde à la sensation qu’on se pourléchaient les babines à la pensée de me faire sien, je rejoignis mère et père. Un sourire se dessinait sur leurs lèvres devant ma tenue trahissant ma noblesse et mon maintien royal.

« Mon fils, tu as respecté nos vœux de venir vêtit de tes plus beaux apparats... Nous sommes fier de toi de te voir près de nous en connaissance de ton aberration pour tout ce qui est festivité... Mais, nous refusons de ne pas t’offrir ce qui il y a de mieux, toi qui est notre seul enfant....Un court instant mon père intima le silence pendant que de ses doigts, il retira la médaille autour de son cou et la passa autour du mien. Tous ici présent baissèrent la tête en signe de respect au nouveau chef de notre famille, me laissant muet... Étant le fils unique, ta parole ici aura force de loi... Tu deviens dès maintenant le patriarche de la famille Kosake de Wolfgang... Et le maître de notre demeure à notre mort... Tiens avec honneur ta place ... Yukihiro... »

Surpris, je ne m’attendais pas à tant de véhémence et devenir à présent le patriarche.... Jamais dans mes rêves les plus fous j’imaginais ce moment. Sensible, une larme coula de mes yeux devant sa confiance aveugle et l’offrande de cette médaille qu’on héritait de père en fils... Touchant l’étoile à cinq branches du bout des doigts, je la retourna pour contempler la tête du loup. Gravé en lettres d’ors, Wolfgang... Un cadeau très précieux qui se méritait... Reprenant contenance, pour faire honneur à mes parents, je pris une coupelle de verre et m’entailla le poignet, faisant en sorte que ma vie la remplisse avant que la plaie ne se cicatrice. La levant devant tous, mes prunelles sanglantes les scrutaient tour à tour de façon envoûtante afin que tous gravent en leurs cœur ma promesse.


« Moi, Yukihiro Kosake de Wolfgang, je jure sur l’honneur et mon sang de tenir le rôle qui m’incombe en tant qu’héritier de notre famille... Et de la protéger pour l'éternité ...Trempant mes lèvres, je bu le liquide carmin avant de continuer. Je ne laisserais personne venir à l'encontre de notre règle familiale et les ferais tenir avec respect ... »

Les bouches s’ouvrirent de surprise devant mon geste. Aucuns d’entre eux ne pensaient un jour contempler tant de charisme sur le rêveur... Ce jour était mon jour et je me refusais de faire honte à mes aînés. Je savais que tous ne voyaient que moi. Quelques secondes s’écoulèrent avant que les verres de cristal s’ajoutèrent aux miens, me satisfaisant. J’avais gagné une bataille en restant fidèle à mes principes... Brusquement, je sentis tout près de moi mon compagnon qui hérissait sa fourrure d’opale et dévoilait ses crocs tranchants. Un danger ? Je sentais aussi cette effluve qui ne me disait rien qui vaille.... Une attaque nocturne ? Levant mon visage, mes yeux carmins regardèrent dans la même direction que mon compagnon à la recherche de la moindre information me permettant de comprendre la situation.

Les sons à l’extérieur m’intriguaient. Qu’étaient ce ? Cherchant en ma mémoire tout ce que j’avais entendu jusqu’alors pour me donner une idée de l’instrument les créant. Je vis subitement des balles fuser en notre direction, traverser corps et meubles. Beaucoup des miens s’effondrèrent au sol, dont l’un le cœur percé par une balle. Devant cet effet mortel, un doute s’insinua en mon esprit sur toute les connaissances que je possédais sur la vulnérabilité des lycans, je n’en voyais qu’un seul pouvant souffler notre vie... L’argent ... Un poison inoculé en nos veines distillant d’abominables tortures semblables à la lave d’un volcan dévoreuse d’existence. Des souffrances approchant celle de l’abime des tourments... Des hommes armés par vingtaine voir plus entrèrent, tuant tout sur leur passage. Trop touché par la paix, mon géniteur et ma famille étaient réduite à s’effondrer à terre. Ayant perdu l’habitude de tuer. Voyant leurs corps s’affaler à terre devant moi, des larmes s’écoulèrent de mes yeux alors que je subissais la transformation d’un mortel à lycan. Sous cette forme animale, je sentais la force brute du sang coulant en mes veines.

Cette apparence fit disparaître toute mes notions humaines de préserver la vie et seul le mot vengeance résonnant. Fonçant tel un char sur les humains qui éradiquaient les membres de ma famille que je devais protéger, j’usais de mes crocs et mes griffes. Mais cela ne dura qu’un temps avant que je me trouvais face à face avec un être qui représentait le mal à l’état pur. Avant même que je ne puisse esquisser le moindre mouvement, il me mit à terre, un pied sur mon dos. Mes yeux sanglant le scrutèrent d’une telle façon qui comprend mon désir de vouloir le broyer entre l’étau de mes mâchoires. Cette lueur brillant en ses prunelles me glacèrent et là. Je me doutais que j’avais face à moi celui qui avait organisé ce massacre. Je ne connaissais son nom pourtant je savais qu’on se reverrait.. Si je n’avais pas été tué, il y avait bien une raison pour ce sursis d’existence.

Mes oreilles se pointèrent alors que j’écoutais chacun de ses mots. Au son de sa voix, à son allure, sa façon de tenir, je compris le sens du mot faible... M’avoir mis au sol si facilement démontrait sa dangerosité. Sans bruit, après quelques minutes de dur résignation avec moi-même, je quittais ma forme lycan pour celle d’un jeune homme délicat. Fier de voir que je décelais l’écart nous séparant, un sourire suffisant fleurit sur ses lèvres. Ô combien j’aurais voulu le faire disparaître à ce moment, hors je devais me renforcer. Apprendre à me déplacer plus furtivement et rapidement pour un jour donner à ma famille le repos qu’ils méritaient en le battant. Même si cela me prenait mille ans, ou plus, je n’abandonnerais pas ... Sa discussion parut à mes yeux longue, très longue avant qu’il me tapote la joue comme si j’étais son jouet et qu’il parte en riant. Puis, on me força à boire un liquide au goût infect qui coula dans ma gorge. Après cela, le noir le plus total m’envahit ainsi qu’une sensation de froid. Je devais donner une pâle image de moi là, allongé sur un sol souillé par le sang... Inconscient. Les heures s’écoulèrent voir des jours où je me réveilla dans un autre lieu. Sentant l’odeur de ceux d’une meute entre les murs. On m’avait donc sauvé.... Depuis ce jour, je payais ma dette en servant fidèlement l’ordre en essayant de ne pas être un poids. Me renforçant semaine après semaine tout en gardant une trace d’innocence. Celle faisant la fierté de ma défunte mère...

j'adore ton histoire zaza!!! c'est trop bine ecrit!!! j'adore *w*

Merci vous deux. ^-^

Vous allez me faire rougir Xd.

Très belle fiche validée !!!!

Suite de l'histoire :




Bercée par l’ambiance feutrée du salon, les yeux du patriarche se voilèrent, patient d’apparence mais au fond de son âme on sentait le dilemme le gagnant. Le sacrifice qu’il ferait par fidélité au chef des meutes lycan. Offrir son fils, son unique héritier de la famille Wolfgang, à Shin, pour tenir une promesse vieille de cinq années... Oui... Bien avant ce soir, Hakihiro était venue de lui même voir leur maître à tous, le connaissant et l’appréciant particulièrement malgré sa prime jeunesse ... Beaucoup se demanderait pourquoi il faisait ça... Pour rester dans ses petits papiers ? Pour faire en sorte d’être bien vue ? Non... Ce raisonnement restait indigne de la façon de voir de ce chef de meute qui ne vois en la vie qu’une chose à protéger ... Particulièrement les siens et son enfant apparaissant à ses yeux comme étant son plus précieux saphir... D’où sa sévérité pour son éducation... Qu’importe le prix à payer, il montrait son amour ainsi et espérait faire de Yukihiro un lycanthrope digne de son rang. Un être impartial pouvant voir le mal venir de loin. Et, rester fidèle à ses principes en faisant face à toute les adversités... La voix de sa femme le sortit de ses pensées.

« Mon doux Hakihiro, faisons nous le bon choix de laisser notre fils entre ses mains ? Notre enfant est encore jeune pourtant tu lui en demandes trop.... Il n’a que seize ans pourtant tu as faillit le tuer en testant les limites de son corps... Parfois je ne te comprends pas ... »

D’un geste des doigts, le patriarche fit comprendre à son gouvernant de lui apporter un verre remplis de sang. Visiblement agacé par les propos de son épouse, il s’avérait qu’une partie de son esprit émettait le fait qu’elle avait en partie raison. Mais de l’autre côté, sa droiture et son respect de ses promesses refusaient toute marche arrière. Se délectant de la vie au goût ferreux si exquis, ses prunelles sanglantes emplies de sagesse scrutèrent Sayuri, essayant de déceler la moindre faille. Jeune d’apparence, elle fut la seule qui ait réussi l’exploit de capturer son cœur... Depuis des années de vies de couples, il se refusait à la quitter. Son épouse... Son âme sœur... La mère de son unique héritier. Un sourire se dessina sur ses lèvres lorsque ses prunelles vermeilles affrontèrent l’or. Une couleur profonde emplit de force et de douceur... Yukihiro tenait d’elle sur la pureté de son âme et son refus de tuer. Alors qu’il allait lui répondre, on frappa à la porte. Le gouvernant fit son travail est ouvrit à l’invité en essayant de cacher sa crainte en reconnaissant le maître de l’ordre lycan au seuil de la port ... Cela n’arrangeait aucunement ses affaires si par un malencontreux hasard on connaissait dans quoi il trempait... Le voyant arriver, le chef de la famille Wolfgang baissa sa tête en signe de son respect après s’être levé par règle de bienséance. Montrant de la main un fauteuil de velours noirs placés près de l’âtre, Hakihiro offrait toute son hospitalité à Shin... Par amitié à son égard ...

« Je suis ravi de vous accueillir en ma modeste demeure. Hirotaka-sama, prenez place en ce fauteuil, vous serez installé plus confortablement ... Regardant sa femme de ses prunelles carmins, le patriarche lui fit comprendre de venir s’approcher plus près. Et non de le craindre... Je vous présente ma tendre épouse, Sayuri ... Vous ne l’aviez encore jamais vu par le passé car je me refusais de prendre le risque que des yeux non avisés ne connaissent mon âme soeur... »

La jeune femme baissa sa tête devant Shin, offrant un fort contraste entre elle et son époux. L’or et l’argent. Le jour et la nuit. La fermeté et la douceur. La lycante semblait être une fleur de lotus devant l’autorité de son mari. Tout deux à la fois différents mais unis par le coeur sans que rien ne puisses les séparer. Calme, Sayuri ouvrit à demi ses lèvres rosées afin de laisser sortir un ton de voix délicieux.

« Un honneur de vous rencontrer, maître Hirokata. »

Pas un mot de plus ne sortit de sa bouche, par souci de politesse mais aussi car le moment était mal choisi. Le jeune héritier se reposait entre les bras protecteurs des draps de satins, bercé par les lueurs de la lune, ignorant la venue de l’invité. Un court silence s’installa avant que le gouvernant ne vienne chargé d’un plateau d’argent, de verre de cristal et d’un rare cru... Avec une rare agilité, Jiang Li emplit les coupes de Château Latour et les servis, la première étant bien entendu offerte à Shin. On ne brisait pas l’hospitalité coutumière des Wolfgang facilement. Savourant ce nectar exquis, profitant du goût sucré sur son palais, le patriarche rassemblait ses mots devant son léger souci. Ne pas pouvoir offrir son fils ce soir. Son regard rouge se posa sur le maître de l’ordre avant qu’il ne daigne expliquer pourquoi son jeune héritier ne faisait pas honneur de sa présence.

« Veuillez me pardonner, Hirotaka-Sama de ne pouvoir remplir ma promesse dès maintenant. Le jeune Yukihiro est alité durant quelques semaines ayant dû supporter mon enseignement des plus... difficiles.. Mettant à mal sa délicatesse. Ses paupières se fermèrent le temps d’un soupir, avant que ses prunelles de feux ne se déposent sur l’emblème de sa famille, accroché au dessus de l’âtre. Le blason de la famille Wolfgang ... Une longue histoire qui explique la dureté dont je fais preuve pour l’éducation de mon unique héritier. Touchant du bout des doigts sa médaille, son regard plongea dans celle de Shin. Lors des vingt et un ans de mon fils, dans exactement cinq années, Hirokata-sama, vous serez invité au banquet prouvant sa majorité et son statut de patriarche. Il héritera de ma place de chef ainsi que le sabre transmis de génération en génération par nos ancêtres... Dès lors, vous pourriez l’emmener auprès de vous à l'ordre lycan et l’avoir en homme de main. Il est certes pur d’âme et d’esprit mais il a acquis un savoir certain .. Pouvant vous être utile. »

Les heures s’écoulèrent au comptes gouttes tandis que tout trois s’engageaient dans une discussions intéressante. Puis, vinrent le temps de la séparation. Le patriarche accompagna le jeune chef lycan au seuil de la porte tandis que sa femme rejoignit sa couche, attendant patiemment son époux. Hakihiro ne tarda pas à la rejoindre pour un sommeil sans rêve. Le gouvernant, seul, soupira. Quelqu’un l’attendait loin... Et devoir allait à sa rencontre provoquait une douleur en son cœur. Soupirant, de ses doigts il prit un dossier qu’il avait soigneusement caché, comportant mille et une informations sur la famille Wolfgang, le jeune héritier et différentes photographies des lieux... Prenant une certaine attention à ne pas être suivit, Jiang Li pénétra à l’intérieur d’un entrepôt désaffecté aux docks. L’homme l’attendait. Posant entre ses mains le précieux document, le gouvernant espérait être libéré d’une certaine façon de son emprise mais, un doute planait... On se sort jamais libre de son étau...

« Vous possédez maintenant entre vos doigts toute les informations que vous m’aviez mandé sur la famille Wolfgang ainsi que certains clichés de la salle du banquet et du jeune sieur... Tenez votre promesse et libérez les.... Entendant son rire, comme un poignard pénétra son âme... Il avait compris qu’il n’y avait aucun espoir. Je veux bien encore vous servir, mais, je vous prie de ne pas faire souffrir le jeune sieur ... Je m’y suis attaché ... Ne lui faites aucun mal lors du banquet se déroulant dans cinq années ... »

Le gouvernant eu la chance de ne pas mourir ce soir là... Il avait encore son utilité pour ne pas semer le doute et que son plan machiavélique réussisse... Oui... Le proche de la famille vit son erreur mais non par choix. Des chaînes se préparaient à tenir entre leurs étau le jeune sieur Yukihiro alors qu’il devrait servir le diable en personne. Ce mot en ses oreilles lui Vaudrait mieux peut être la mort mais cela lui vaudrait mieux que d’imaginer le sort réservé au jeune Wolfgang ....

Bon alors ..

Commençons car j'ai remarqué certaines choses !

De la première, nous avions prévus certaines choses par rapport au fait que Kira ai fait tué la famille de Yuki et cela n'a en rien été changé. Donc je te laisse la possibilité de revoir ta fiche mais de deux choses l'une :

Si Kira a éffectivement participé au massacre Yuki ne se souviendrai pas d'un eventuel viol. Sans compter que Si Tomoo était là il aurait fallaut qu'il perde la mémoire aussi et là ça devient un peu n'importe quoi donc le plus simple est si Kira fait toujours partit de l'histoire qu'il ai juste fait la tuerie, que Tommo n'était pas là et que Yuki n'ai pas été violé.

En revanche si tu tient à garder cette idée et que Tomoo soit présent dans ce cas Kira n'entrera plus en rien dans l'histoire et je te laisse revoir ça comme tu le souhaites tout en restant logique quand à la famille de Yuki et au reste.

Bon courage !! Ton temps est libre je n'imposerai pas de limite pour ta fiche !
A bientôt pour constater els changements !

*Lis le pâté.*

J'hésitais à demander par rapport à ça, mais avec ce que tu as mis j'ai ma réponse. Cela ne me dérange pas de refaire la fiche tant qu'on me laisse du temps. *Jongle entre graph et réponse rp*. ^-^ L'histoire de quelques jours ou moins.

En relisant ce que tu as mis pour Tomoo, j'avoue que tout ce que tu dis est logique. J'avais pas pensé que même si Teddy ne se souvenait de rien, le cousin quant à lui avait tout vu.... Et, aurait pu le dire à Yukihiro. Et, en repensant à ce que tu dis... Il l'aurait tué pour qu'il n'y aient aucunes preuves.... Boulet... J'avais pas été jusqu'au bout pour une fois. *se tape sur la tête.*

Donc, bien je ferais comme tu demandes, mais pour refaire toute la partie du viol et de Tomoo, j'aurais besoin d'information afin de faire une fiche bien complète et qu'il n'ait rien à redire pour toi et Ryu. ^-^ Juste des petites indications pour m'aider pourquoi il a perdu la mémoire et surtout comment il s'est écroulé au sol et tout. Deux trois bricoles pour pas ne faire un brouillon. Oo Car là, je vois pas.....

C'est pour ça que je demande une idée XD là c'est car il protège Tomoo.

Hum, ça va le coup de la drogue ? Les effets sur un jeune lycan sont longs à agir et euh, je vais avoir l'air bête en demandant ça, mais ça peut faire quels états chez Teddy ?

Kira doit bien en avoir filé des trucs aux gouvernants. lol

Hallucinations ? Autres ? OO

Donc c'est Ok !!
Ce coup ci tu es validée pour de bon !!!!! XD