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 # Fujimura Hastuharu #

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Fujimura Hatsuharu

Fujimura Hatsuharu

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# Fujimura Hastuharu # Vide
MessageSujet: # Fujimura Hastuharu #   # Fujimura Hastuharu # Icon_minitimeLun 2 Fév - 0:03




#Identité

Nom : Fujimura

Prénom : Hatsuharu

Race et Clan : Hybride Lycan_Vampire Nokemonos

AGE
Physique : 17 ans
Depuis la naissance : 16 ans

Fonction : Messager

Pouvoirs et arme :

Niveau pouvoir à proprement parlé, on ne peut pas dire que notre jeune hybride bien qu'il soit fort ait été gatté ! Ayant d'avantage prit du Lycan que du vampire, ses capacités quand aux dons vampiriques se trouvent grandement réduit et c'est à peine s'il parviendrait à entendre la plus fine pensé ou même soulever une pomme grace à la télékynésie. En revanche, c'est un adolescent pourvu d'une force rare pour son age. Le seul possédant à peu prés ce genre de force à un tel age était Hirotaka Shin bien que ce dernier était tout de même plusieurs crans au dessus. Pourvu d'une sensibilité accru au maximum quand à ses sens son intuition ne l'a jamais trompé et s'il vous dit qu'il sent un danger quelque part fiez vous à lui. Capable de prouesses aériennes impresionnantes il est extrémement agile et tient plus du chat voir du serpent que du canidé. En arme, il porte des gantelets à griffes qui alliés à sa force de base font bien des dégats et maniées avec ses capacités martiale, Haru n'est ni plus ni moins qu'une machine de guerre pour ses ennemis. Bien sur, il ne dépasse pas ses ainés mais si on relativise, il est peut-être voir surement plus puissant maintenant qu'eux à cet âge bien qu'il sache petinement qu'Hirotaka, Ayase et Aoi sont des "monstres" à part ...

Spoiler:

#Description

Caractére :

Comment décrire Haru sans vraiment se tromper ? Comment être juste alors que tout chez cet adolescent complexe prète à la confusion et à une simple image qu'il veut donner de lui ? Hatsuharu vous semble froid, hautain, indélicat, sarcastique et même désagréable si vous ne le connaissez pas mais finallement, c'est juste parcequ'il ne supporte pas d'être vu tel qu'il est. Ne le pensez pas gentil et doux non plus car ce ne serait qu'une erreur de plus. Il ne l'est pas mais en fait, c'est un garçon qui ne cherche pas les ennuis et qui voudrait simplement qu'on lui fiche la paix, renfermé et solitaire au possible. Il n'aime pas être surprit par la vie, rationnel et posé si ce n'est usant de trop de sang froid proche du détachement Haru n'est pas l'ami des surprise et si vous lui en faite une, il ne sourit que par politesse car vous vous serez donné du mal. Ses sourires, parlons en ! Aussi rares que la pluie au désert, ils se comptent au compte goute quand à leur sincérité alors qu'ils seront franchement hypocrites pour qui le dérange.

Désabusé, l'adolescent qu'il est ne rêve pas, n'a plus confiance en rien si ce n'est en lui même et c'est ce qui le rend fier car il se connait et connait ses limites. A l'inverse de Ren fonceur et acharné, Haru saura se montrer plus raisonnable et s'il se sent dépassé par quelque chose ne forcera pas, pas par fénéantise mais simplement par logique. Tirer trop sur la corde et elle cassera, ce n'est pas le but et se fatiguer à rien surtout par les temps qui courent est idiot sinon insouciant ! Cela dit il n'hésite pas et quand il décide quelque chose fonce dans le tas sans regrêtter ses actes. Regrêtter ? Là non plus il ne cherchera pas à le faire, c'est un mot bannit de son vocabulaire ; les regrets ne font pas devenir les choses plus belles et il n'y a aucune raison de se morfondre, ce n'est pas ça qui aidera ! Se lamenter, se plaindre sont des choses identiques qu'il se refuse à mettre en pratique et qui ne l'horripile que plus chez les autres. Peut-être parce que justement, il est lui même trop ignorant volontairement de tout jusqu'aux sentiments. Aimer, haïr, juger, douter, Haru est pareil à la surface d'un lac sans courant. Pas insenssible, il garde tout et analyse, ne rendant aux gens que ce qu'il juge bon de leur donner. Une apparence se fait si vite, il le sait, l'a comprit et maintenant le rend par automatisme.

Pourtant , il peut s'énerver, incapable de rester de marbre face à certaines choses notement l'autorité. Il ne la supporte pas, cela lui rappelle sa mère. Des ordres, encore et encore des ordres ... Et son statut de "sous fifre" des Nokemonos ne lui va que parcequ'il se force à l'accèpter, sorte de combat personnel mais Haru rejette les demandes, préférant s'éxecuter de lui même ou à la limite rendre service. Chose que sa "patronne" semble avoir comprit puisqu'elle souhaite plutôt que d'ordonner. Les gens qui le prennent de haut sont souvent massacrés sans considération et Haru se montre bien souvent impitoyable voir sadique avec eux. Capable de tout quand on le pousse trop loin. La contrainte, pas physique mais moral le rend simplement fou de rage.

Finallement, le seul qui parvient à le sortir de son mutisme ou de ses ordinaires réactions est Ren. Il se fache un peu contre lui quand il ne range pas la salle de bain, soupire de ses bétises, se voit obligé de le calmer quand il part dans ses délires et pourtant c'est simple, le jeune homme lui est devenu indispenssable. Alors qu'il le voyait comme son pire ennemis, il est devenu son ami et même s'il se refuse à se confier à lui, Haru lui fait confiance et le suit malgré le fait qu'il protéste les trois quart du temps. Et c'est un duo de choc se complètant parfaitement. Avec Ren, il a trouvé son reflet dans le miroir son opposé le complétant et l'adolescent est devenu une sorte de soupape de sécurité. Il sait que s'il en fait trop Ren l'arrêtera et qu'il peut lui confier sa vie les yeux fermer même s'il dit souvent qu'il est bête pour le taquiner.

En définitif, disons que Haru est ce qu'il est mais aprés tout, n'est encore qu'un enfant que la vie n'a pas forcement aidé. Il porte un regard sombre sur tout, pas négatif mais pas joyeux, croyant de rien sauf en lui même il n'accorde pas de confiance et se dit que le travail ne sera bien fait que par lui si il doit le faire ; il refuse l'aide. Légerement maniaque, il aime cependant faire plaisir et se sent heureux s'il arrive à contenter son entourage. Bon cuisiner, capable de tenir une maison comme de gérer un compte en banque il est un peu avare mais à raison. Ami de confiance même s'il n'en donne pas l'air, il vous suffit de parler avec votre coeur pour ne pas vous heurter à un mur de glace. On se donne des airs, mais à Tokyo où tout n'est qu'apparence croyez vous vraiment que les gens soient différents ?


Relation :

Des relations, voilà qui ne passione pas du tout notre jeune Lycan plus heureux dans sa bulle qu'entouré. Pourtant il connait la solitude, la rejette, mais n'aime pas qu'on s'occupe de lui, qu'on le couvre d'attention ou qu'on le questionne. Plus facile pour lui de se sentir seul que d'être seul, il choisir de se fondre dans la masse, écoutant ce qui se passe mais sans qu'on le remarque. Il n'aime pas forcement aller vers les gens et finit par les faire fuir de par sa nature un peu nonchalente voir farouche. Avec ses ainés, c'est pire encore. Fier et indépendant, Haru ne supporte pas la critique, ne veut pas rendre de compte et il faut le reconnaitre a un serieux problème avec l'autorité qu'il n'accepte de personne voir qu'il rejette tout bonnement en prenant ses interlocuteurs de haut. Il s'est plus souvent attiré d'ennemis que d'amis mais pourtant, une fois qu'on le connait on se rend compte qu'il est attaché à ses connaissances et qu'il se salira les mains pour elles.
Pour ce qui est des autres personnes en villes, il supporte plus qu'il ne tolère les Lycans ou les vampires et ne se voit même aucune affinité avec eux. Les hybrides ne sont rien d'autres que de spersonnes qu'il cotoit sans plus et les humains il ne s'en retourne pas du tout ! En finalité, il ne supporte qu'une personne au quotidient : Ren ! Adversaire, ami puis finalement plus indispenssable pour lui que l'air qu'il réspire il n'avouera jamais à quel point il lui ait attaché pour l'instant mais rien n'est immuable ! Alors peut-être finira-t-il par dire ce qui le pèse tant allez savoir ...




Dernière édition par Fujimura Hatsuharu le Lun 2 Fév - 23:10, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: # Fujimura Hastuharu #   # Fujimura Hastuharu # Icon_minitimeLun 2 Fév - 1:11

#Histoire d'une vie

Histoire :

Un enfant est un don du ciel, le plus beau cadeau d'une femme
Sa chaire, son sang, une partie d'elle
Alors s'il sont deux c'est mieux ?!
Qu'en dis tu maman ?
Maintenant je me demande encore ;
dis maman, tu m'as aimé ?

Parler de moi, revient à parler d'eux pour comprendre.
Mes parents étaient des gens bien je dirais. Chacun de leur côté, c'était des personne respectables et respéctées. Lui ? Fujimura Mesatsu : Un maitre vampirique dont la télékinésie était devenue une arme de destruction de masse. Il ne savait pas user d'autres dons, piètre télépathe, mais intégre. Assez froid, reservé car on le disait souvent mauvais vampire et défaut de la race pour ses défauts quand à ses pouvoirs. Il était renfermé, peu causant, et de plus, on ne vantait pas sa beauté. Maigre, les joues creuses et le visage émmacié, sa silouhette fantomatique dérangeait, comme une ombre planant sur tout et tout le monde . Ses yeux gardaient un bleu métalique tirant vers un gris sans éclat, des yeux vides, mais acérés qui restaient accrochés aux gens pour mieux leur faire baisser la tête. Mon père était Avocat personnel de feu le père d'Ayase Ryu et pas pour rien je pense ... C'était même un de ses amies d'enfances selon les dires, ce qui lui avait valut sa place si haute à ses côtés. Un bras droit dévoué et peu contraignant, mon père n'aimait pas les gens, il supportait mal qu'on lui parle. Je pense lui ressemblait un peu de ce trait de personnalité ...

Ma mère ; Victoria Cléhador Lycane. Le sourire mutin de ses petites fées que l'on dépeint dans les légendes, les cheveux bouclés comme aux anges, la frimousse taquine, toujours heureuse comme si la vie ne pouvait et ne devait que vous donner le sourire. Capricieuse, tétue, élevée comme une reine c'était une tueuse de sang froid, assassin privée des Hirotaka de parents en enfants la lignée des Cléhador était connu de ses carnages pour le clan. Elle donnait des ordres, femme de tête, elle ne voulait pas qu'on la bride, qu'on l'enferme, c'était quelqu'un de fort qui asservissait sans être un tyran pourtant. Les gens venaient d'eux même, elle n'avait qu'à refemer la main sur eux. Indépendante, on lui avait donné la couronne et le pouvoir sur la famille aprés la mort de son père, sa propre mère morte en couche et elle avait tout pour elle. Les hommes grugeaient de la courtiser, d'avoir ses faveurs et sa fortunes mais elle, elle ne voulait que celui qu'elle ne pouvait pas avoir, par caprice, par jeu, Victoria n'aimait pas laiser l'ennuit berser sa vie et même l'amour ne devait pas être le hasard pour elle bien que quand elle rencontra mon père, lui agé de plus de soixantes ans, elle en avait vingts. Précoce, mais la vie lui avait sourit. Les fées s'étaient penchées bien vite sur elle et sous le traité elle ne pouvait que jouir des avantages de sa condition. C'est ainsi, dieu est injuste, c'est connu ...

Je ne sais de leur rencontre que ce que mon père a consentit à m'en dire.
Ils y avit le bal de noël, ce fameux bal des vampires que la tradition perdurait depuis des siècles et qui maintenant c'était ouvert aux lycans. Père n'aimait pas les fêtes, mais pourtant il y allait alors et c'est là qu'il la croisait. Elle dansait au bras de l'un et de l'autre, indifférement du valet que du noble pour mieux les faire se jalouse. Dans sa roble immaculée, son maintient droit mais audacieux conférait à cette jeune fille trop aristocrate une espéce d'allure bohème quoi que trop charmante. Les lourdes couches de tissus ondulaient sur ses jambes, effleurant le marbre de la salle de fête alros que toute sourire, elle s'approchait du buffet, y prenant deux verres et en présentant un à mon père. Elle insistait pour qu'il parle, qu'il fasse quelque chose, cet homme que rien n'attirait, elle elle le voulait. Celui que tous évitaient, ignoraient et bien elle le voulait, tout simplement.

Quand j'y pense maintenant, il ne me raconta qu'une seule fois leur rencontre alors que ma mère elle ne le fit jamais. Mais je voyais un leger sourire sur son visage aussi froid que du marbre ; ce même visage qui jamais ne m'offrit un soupson de fierté ou même quelque chose de bon ...

Ils ont parlé, longuement, et loin des airs de jouvencelle à qui tout réussi mon père trouvait en Victoria une femme à la conversation étonnante et avisée, touchant ce qu'il fallait quand il fallait. Séduit ? Peut-être, peut-être pas ... En tout cas, elle avait au moins sucité son interet.

Des jours, des semaines à converser, à se trouver ... bien ensemble. Et comme une certaine logique, il finissaient par se marier. S'il s'aimer vraiment ? Je n'en sais rien pour être honnête, mais voilà que tombait 1993, soir d'un drame. Mes parents n'avaient plus leur chefs premier et avait rejoint les ordres des fils Hirotaka et Ayase. Cependant, ils étaient resté fidèles et ne pouvaient pas tourner le dos à leur fonctions. Cependant, pendant ce soir tragisue, mon père fut blessé, assez gravement pour perdre l'usage d'une jambe. Je ne sais pas comment il s'est retrouvé dans la grande maison on je grandis par la suite, mais une chose est sur c'est que la retraite précaire lui faut accordé. Alors il partait et ma mère le rejoignait bientôt. Par amour peut-être, ou par simple qualitée d'épouse qu'en sais-je ?! En tout cas, ils vivaient là, jusqu'à mon arrivé. Enfin ... Notre arrivé.

* * * *

La vieille gouvernante de la maison m'a conté notre naissance. Un matin d'hiver glacial ou ma mère serrant les dents mettait au monde pas un mais deux enfants. Les jumeaux ne s'étaient jamais vu chez les hybrides, c'était un risque pire encore et pourtant, nous, deux garçons vîmes le jour. Au départ, elle nous traité à égal, mais quelques mois plus tard, mon frère manifestait les premiers troubles de santé alors que moi restait vif et sain. Alors mère, tu repportas ton attention sur lui, sur ton cher Kuroki. Que veux tu que j'en pense même encore maintenant ? Que voudrais tu que je dises pour ma mère qui oublia jusqu'à l'amour qu'elle aurait du logiquement me porter ? Rien, qui pouvais-je alors ?

Kuroki n'était pas un méchant garçon, mais c'était un pleurnichard par nature,même pas par intêret, il était ainsi tuot simplement, toujours derrière ma mère, à se plaindre, a lui demander son attention et elle aimait ça. Le couvant bien plus que ce qu'il méritait sans doute, et plus que de raison. Professeur particulier pour lui épargner la fatigue de l'école, jouets hors de prix tout, il n'avait qu'à demander.

Moi ? J'étais un gamin, celui qui tendait les bras à une mère qui le rejettait, et si je protestais l'attention qu'elle portait à mon jumeau, elle me faisait connaître la rudesse de ses gifles. Maman, tu sais que je t'aimais, que je te demandais juste ta chaleur, juste ta tendresse, j'étais un enfant, un simple enfant ne cherchant rien d'autre que ta voix pour des histoires avant de dormir et ta main tenant la mienne pour chasser mes cauchemars. Elle a crée ma jalousie face à mon double, lui fragile moi non, mère me repprocha un jour, phrase gravé dans mon esprit : " Ton frère si gentil, il ne mérite pas son état ! Tu aurais dû être celui qui souffre !! Tu aurais compri son besoin d'être protégé !"

Je ris ... Oui et alors ? Quand vous mettez ces mots sur la psychose, un amour fou ou une inquiétude, il deviennent excusables. Mais mère n'était pas de celles qui cédent ! Elle savait bien, le poid de ses mots, leur cruauté et ne faisait que me faire comprendre à quel point je n'était rien pour elle. Elle me repprochait d'avoir volé la chance de vie à mon frère, ma bonne santé au détriment de la sienne. Même pas par méchanceté directe, séchement, comme une constatation, et pour moi du haut de mes sept ans, c'était sans doute bien trop ! J'ai fermé mon coeur trouvant refuge autre part, dans les livres, la musique, le combat avec un professeur particulier. C'était comme ça, un quotidient dans lequel je n'était plus vraiment présent. Mon père semblait compatir, mais sa nature austère ne le faisait pas me cajoler à la place de ma génitrice, seul geste tendre, ses longs doigs filant à travers mes cheveux comme un réconfort muet. Père, pour toi j'ai plus d'amour que pour tous, enfin, j'ai eu ... Comme ce soir où à la table par gourmandise Kuroki vola mon dessert. Je lui offrait une claque d'enfant, assez forte pour ébranler sa sensibilité et le faire fondre en larme. Là où j'avais apprit à te hair petit frère, tu continuais à m'aimer, simplement, ne comprenant pas vraiment par innocence et à force d'être trop couvé pourquoi je t'étais si lointain. Mère ta colère pour moi, à mon égard moi ton enfant de huit ans m'avait fait mal. Mais là où d'ordinaire ta sentence aurait du s'abattre, père s'était levé, t'interdisant d'un seul regard d'user de quelconque geste. Querelle d'enfant à laquelle nous étions deux coupables. Il nous a dit de nous excuser, moi pour ma giffle, lui pour son "vol". Et père, te voir prendre ma défense même sans pour autant me donner raison m'a dans un sens rassuré. J'éxistais, et toi nous mettais à même échelle sans favoritisme, nous étions tout deux tes enfants.

Je sais ... Oui je sais, il ne fallait pas. Mais le remord ne change rien, et les larmes ne ramènent pas les morts. Pardonne moi, pardonnez moi, Kuroki, mère je sais bien, que je mérite au moins ta haine ...

* * * *

Jour d'été, je me souviens de la correction de mère, encore une autre, le fouet. En grandissant elle ne me frappait plus, elle usait du fouet. J'avais dix ans, et restant dans le grand salon cette pièce ouvertes sur le jardin, avec ce vent si doux, et j'avais mal. Triste en colère de ces gestes sur moi pour juste un mot de travers, je pleurais, pour la première fois, lassé, blasé, j'avais mal. Un simple gosse. Elle était venue alors que je lisais, que je ne demandais rien, m'arrachant de smains ma lecture, balaçant le lien de cuir en plein visage me rendant la vue trouble à l'oeil gauche. Je ne comprenait pas, et elle disait que j'étais bon à rien, que mon pauvre frère ne pouvait qu'être peiné de mon exemple. Puis une fois sa vengeance faite elle était partie simplement comme si rien ne s'était passé, me laissant là sans considération, pas même un soupçon de culpabilité ...

Assit au piano, je pleurais puis sentit bientôt une main se poser sur mon épaule. Le sourire de mon frère m'enleva un instant mes larmes et je tachais de me redresser avisant sur lui ses genoux, ses coudes et son visage abimé. Inquiet, je lui demandais ce qu'il venait de faire.

" Je suis monté dans le cerisier mais je suis tombé et comme maman m'aurait grondé si j'avais été tout seul j'ai dit que j'étais avec toi mais que t'avais pas eu le temps de me rattrapper ! Tu es pas faché ? "

Le monde s'écroulait un peu plus encore, et je comprenais, que toutes ces punitions inexpliquées, que toutes ces corrections douloureuses que je ne comprenais mais n'étaient que le résultat du fait que mon cadet utilisait mon nom en couverture à ses bétises ou ses imprudences. Il ne pensait même pas à mal, juste qu'il était innocent, non, pour moi à cet instant il était la raison de ma douleur, la raison de la haine de ma mère, mais en fait, elle était la seule maitresse de sa haine, Kuroki n'était que l'huile du feu, rien de plus. Mais moi, aveulgé de cette colère vengeresseje voulais ma revanche.

" Non ! Je suis pas faché ! Tient viens je vais te montrer un secret !"

Petit frère, jusqu'à la fin tu m'as vu en héro pas vrai ? Dis tu savais, que ce sont les parents qui font leurs enfants ? Moi, j'ai mit bien longtemps à le comprendre !

Sa main dans la minne, je l'emmenais dans la tour faisant office de grenier, c'était rangé et la pièce servait de salle de jeu. Poussant le coffre à jouet vers la fenêtre, j'en otait le cadena salvateur et ouvrait en grand les vitres, tendant la main à mon cadet. Il se pencha un peu, observant le vide en dessous comme moi. Le jardin bien vert, le petit plan d'eau et le rose des cerisiers auxquels le vent venait voler les pétals. La scéne tourne encore au ralentit maintenant ; malgré tant d'années passé je la vois encore et dans les songes, je suis celui qui ...

" Ne Kuroki, tu sais que je peux te donner des ailes ?"

"Ontoni ?"

"Hai ... Tu les vois pas mais tu peux voler ! Là si tu sautes et bien tu pourra voler comme Peter Pan ! Alors tu me crois ?"

" Je veux essayer Onii-san !!!"

" Aller tu sautes à trois ?"

" Viiii !!!!"

Il frappait dans ses mains heureux de la révélation, sautant un peu sur place alorq qu'un sourire illuminait son visage. Il se percha sur le rebord, les bras écartés, et je le regardais ...

" Un ... Deux ... Trois !"

Son sourire, il me le donnait alors que son corps passait à mes côtés. Un instant j'ai voulu, vraiment voulu qu'il ait des ailes ! Mais ... Les contes de fées n'éxistent pas !

Un bruit mat contre le sol, je m'avance encore, regarde en contrebas, fixe ma mère qui accourt et sert mon frère contre elle. Elle lève la tête, me voit immédiatement, elle a comprit. Laissant Kuroki aux doméstiques éffondrées, elle repart et monte les escaliers ; je sais déjà ce qu'elle fera, je n'ai plus peur. Moi je reste là, je regarde le corps sans vie de mon jumeau, de mon double, j'ai mal, comme si j'allais mourir mais pourtant, c'est étrange ... Je ne sais pas pleurer ...

" Gomen ne ... Kuroki ..."




Dernière édition par Fujimura Hatsuharu le Lun 2 Fév - 20:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: # Fujimura Hastuharu #   # Fujimura Hastuharu # Icon_minitimeLun 2 Fév - 20:41



* * * *

Ses coups ne m'avaient jamais fait si mal, mais je les méritait alors ne demandait pas qu'elle arrête. Maman, je m'en veux oui, mais je t'en veux. Je t'aime, mais te hais malgré moi. Tu criais, chose normal, je t'avais volé ton fils, ton cher enfant. Je n'ai pas eu peur, pas même quand tu hurlais que tu m'arracherai le coeur à moin ton propre enfant. Le couteau à ta ceinture m'a entaillé la poitrine, tu serais allé au bout de ton idée, mais père est arrivé. Il t'a empêché, a essayé de te calmer et moi, j'ai sauté. Comme Kuroki, mais moi à sa différence, je me rattrapais entre deux et descendais sans mal. J'ai fui, sans me retourner, sans un mot, sans un regard j'ai courru. Ta marque est encore là maman, comme pour me rappeller que mon frère n'est mort que par moi. Je la regarde, cette ligne sur ma peau, celle la même qui me fend le torse. Elle me fait mal, souvent, et pourtant, je ne parviens pas à pleurer, j'aurais aimé ... mais non.

La rue, quand on a connu le luxe même sans attention, elle vous parrait bien froide. Les gens se pressent, marchent, mais ne se retournent pas. J'étais un parmi tant d'autre et on ne se retournait pas. C'était sale, vide, froid, mais c'était mon seul mérite. Je n'avais droit à rien ... Honnêtement, je crois même que pour le meurtrier que je suis, c'était encore trop beau !

La pluie, le mauvais temps, les fortes chaleurs : quand on vit dehors on ne vit qu'au grés du temps rien de plus. Je m'y suis fait, vite. Trop vite peut-être. Je vivais sous un pont ou bien dans une rue étroite , de celles où les toits finissent par se toucher et abriter un peu les bennes pas loin des magasins.
J'ai comprit qu'on avait rien sans rien et je me suis mit à travailler pour pouvoir manger.Je n'abattais pas des montagnes bien sur, mais je livrait des journaux, je portait quelques courses, je faisais des bricoles en sommes, que voulez vous qu'un gamin de dix ans qui ne sait rien de la fasse d'autre quand il est livré à la ville ? Rien ... Ou pas grand chose.

On ne ma tendit pas la main, c'est comme ça dans la rue, pas autrement. Mais je ne m'en plaignais pas ; au contraire je pense que je le voyais comme une legére compensation à mon acte, aussi horrible fut-il. J'était farouche et quand un groupe de sempais me prenait sous son aile, je demeurait muet. Ils étaient tous pareils vauriens, respectueux de rien, peu éduqués, et je crois que dans un sens, j'avais encore l'audace de les prendres de haut. Ils n'appréciérent pas évidement et alors que l'un deux levait la main, les punitions de ma mère revinrent en bloque. Déchainé, je lui sautais à la gorge, le tuant sans hésité. Ce goût que je n'aimais déjà pas quand je le ressentait par besoin dans l'enfance, cette chaire sous mes dents, je la tranchais dans la rage, déchiquetais alors que les cris des autres jeunes vrillaient l'air. Aprés quoi, dans les bas quartiers je tenais ma réputation, c'est toujours pareil. La crainte des un vous donne le respect des autres et là, et bien on avait peur de moi, comprenant que je n'étais pas humain. Je grandis, quand même, avec le peu d'éducation des livres que je volais pour "la bonne cause".

Je n'ai plus connu la chaleur d'un foyer depuis lors, si tenté que ma maison pendant mon enfance m'ait apporté un tant sois peu de chaleur. Vivre seul, sans aucune main tendue pas même par gentilese est dur, j'en ai fait l'expérience. Des endroits lugubre, des gens malsains qui vous proposent tout en échange dans nuit dans leur lit. La honte de devoir supporter sa propre crasse quand on ne trouve pas de quoi se changer, de dévorer le moindre croissant parcequ'on a rien avalé depuis de sjours. On se surprend à se rendre compte de sa vraien anture quand on marche sur le fil du rasoir, quand on veut survivre sans vraiment le devoir. Je ne méritais pas de survivre aprés ce meurtre. Le seul que je regrette parmi toutes les vies que j'ai oté.

* * * *

Mais on dit bien aprés la pluie vient le soleil je crois ?!
Disons que tu es le mien même si au départ pourtant, j'ai plus eu envie de te crever les yeux que de venir appuyer ma tête sur ton épaule ... Ne Ren ?! Je crois qu'on aurait pu trouver manière plus douce de faire connaissance !

Je voulais l'argent de ce combat de rue. C'était une boucherie, rien de bien logique pour des gamins de même pas vingt ans mais dans Tokyo quand la mort est une habitude, une amie avec qui l'on flirt et bien trancher une main devient aussi logique que de s'achetter un caddie de courses au super marché pour se nourrir. Moi, je voulais juste pouvoir me payer un loyer, avoir un toit au dessus de ma tête. Car depuis six ans, seul le macadam et le goudron du sol m'avait accueillit pour dormir la nuit, et voilà, j'en avait assez. Simplement. Mais toi, avec ton sourire, tu arrives, chamboules tout, crois que tu peux me prendre ce qui me revient de droit. Je t'ai detésté, de venir là, au milieu de tout prétendant que tu pouvais me battre. Oui, j'avoue je t'ai prit de haut, je t'ai rabaissé, n'ai pas cru pouvoir trouver un égal mais aprés deux coups échangés, j'ai comprit, tu étais de la même race que moi ! Mon reflet, mon double, une sorte de Jumeau inverse qui me completait. Mes sentiments pour toi sont étranges, je sais bien ; moi même ne les comprend pas. J'y pense, souvent, mais finalement je ne tombe sur rien d'édifiant. C'est étrange, mais on s'est battu, on s'est tellement battu qu'on a dû partager la somme sur match nul. Mais aprés, plus moyen de te sortir de ma tête. Tu étais "en moi" en quelque sorte, je t'avais dans la peau.

Allez quoi je parle pas d'amour et encore moins de désir ! Mais ... Voilà, c'était pas possible, je ne pouvais pas m'empecher de penser à toi. J'y peux rien, encore maintenant, même si je ne le dis pas, j'ai besoin de toi. Ren, dans ce parc où on s'est revu on a pû parler un peu voir que finallement toutes nos différences nous rapprochaient. Tu es chiant ! Oui ! Tu me regardes, tu souris, tu me charries, tu me provoques, me calines, me prend au dépourvu moi qui aime l'ordre et qui ne suis pas pour les surprises. Tu te rappelles pas je suis sur ... Quand on a eu l'appartement pour notre collocation on a fêté ça, tu as bu, moi aussi mais décidement tu tiens pas l'alcool mon vieux !!! Tes lèvres sur les miennes, cet instant où le temps s'est arrêté, je n'ai pas comprit, ça me semblait trop magique, comme un conte de fée ... Je ne te le rapellerai pas, je n'en vois pas l'interet ... Qui voudrait vraiment être à mes côtés ? Je suis sur que même toi, si tu savais qui j'étais au fond tu me hairais. J'ai peur de te perdre, peur de demain depuis que je te connais mais je m'acharne à pas le montrer, tu n'imagines pas Ren, tu n'imagineras jamais, à quel point tu as changé ma vie !
Non bien sur, tu ne sauras rien ... Mais je le penses, même si je te critiques pas mal ; c'est pour mieux cacher ce que je pense, c'est toujours comme ça ; l'habitude.

* * * *
Pour ce qui est des autres, On les a rencontré ensemble et je crois que je les contacte et les voit simplement par nécéssité. Que veux tu, je suis pas gentil ni avenant, j'aime pas être avec les gens. Pas que Shizuka, Kenshin et Eiko ne soient pas aimables, mais moi je suis bien seul. J'ai rejoint le sNokemonos par besoin de sécurité finacière, mais sinon je n'aurais rien rejoint. Je suis comme ça, je sais que ça ne plait pas forcement, mais je m'en fiche. J'ai ma philosophie voilà tout !

En cemoment on vit un jour à la fois, toi et moi, sans vraiment se prendre la tête, on se partage les taches et je découvre ce que c'est que l'amitié. Tu sais Ren, tu es mon premier ami, le premier à qui je donnerai ma vie. Et le seul pour qui je me sacrifierai. Si je t'aime ? J'en sais rien !!!!!

Je verrai bien, j'ai encore du temps, puisque maintenantgrace à toi j'ai envie de voir la vie, de voir à quoi arrivera notre relation. C'est bête non ? Je sais ... Mais voilà !

* * * *

Il soupire, se masse le cou, regardant par la fenêtre l'hiver qui continu de tisser son manteau sur la ville. Mais un sourire passe sur son visage d'ordinaire si impassible. Dans le salon il fait bon, il n'a pas froid et se sent bien. Cela fait du bien, de se dire qu'il n'est plus seul, qu'il compte un peu pour quelqu'un, et qu'il ne va pas manquer de repas ce soir. Haru sourit, sereinement, et quand la porte s'ouvre, il fixe son ami qui lui propose une pertie de billard.

" Oui ... On fait ça !"



#Détails

Manie ou tics :
• Il fait une espéce de grimace avec les lèvres quand il est contrarié ou impatient
• Il est maniaque et assez avare
Orientation sexuelle : Bisexuel tendance Homosexuel
Autre/Signe particulier :
• Il a une grande cicatrice sur la poitrine
• Il joue trés bien du piano et accesoirement sait piloter un hélicoptére
Personnalité sur l'avatar : Takaki Yuya

# Vous

Surnom : Eri, Namour, Sister et Tata ! XD
AGE : XXX années
Moyenne de connexion : Tout le temps !!!
Moyenne de lignes par rp : Plus de vingts à chaques poste ! XD
Comment avez-vous connu le forum : Je l'ai fait ho ho hooooo !!


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Natsume Ren

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# Fujimura Hastuharu # Vide
MessageSujet: Re: # Fujimura Hastuharu #   # Fujimura Hastuharu # Icon_minitimeLun 2 Fév - 22:11

Je suis scothéeeeeeeeeeeeeeeeeee !!

J'adore, j'aime, je raffole très belle histoire est très émouvante *w*

Je te valide avec grand plaisir et avec Ren pour Haru chan !!!


# Fujimura Hastuharu # 515535
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Fujimura Hatsuharu

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MessageSujet: Re: # Fujimura Hastuharu #   # Fujimura Hastuharu # Icon_minitimeLun 2 Fév - 23:07

Naiihh !! C'est super gentil ma namour !!!!!!!

*caline*

Contente qu'elle t'aie plut !!!!!

Et merci de la validation !! ♥️♥️
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MessageSujet: Re: # Fujimura Hastuharu #   # Fujimura Hastuharu # Icon_minitime

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