Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-17%
Le deal à ne pas rater :
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS + Cellular 44mm (plusieurs ...
249 € 299 €
Voir le deal

Partagez  | 
 

 # Suzano Kei # Sadistic Killer

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Auteur Message
Suzano Kei

Suzano Kei

Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 19/12/2008

Feuille de personnage
STATUT ::
LIENS : :
CLAN ::

# Suzano Kei # Sadistic Killer Vide
MessageSujet: # Suzano Kei # Sadistic Killer   # Suzano Kei # Sadistic Killer Icon_minitimeMer 24 Déc - 12:46

#Identité



Nom : Suzano
Prénom : Kei
Race et Clan : Humain
Age : 32 ans
Fonction : Chef de la Rébélion humaine
Arme et Techniques de combat : Kei s'est spécialisé dans les techniques aux corps à corps mais utilise un fouet (son arme de toujours) avec grande déxtérité. Muni d'une vitesse impressionante et de sens aiguisés par la pratique il vaut largement les meilleurs Karyuudo et peu se défendre sans peines contre les légions monstreuses de Tokyo. Adversaire dangeureux et sans pitié.

#Description



Physique et style véstimentaire :

Caractére :

On retient surtout de Kei le fait qu'il laissera toujours cette impression déplaisante partout où il passe ! On reste hébété par son caractére, sa personnalitée à la fois méticuleuse et j'm'en foutiste ua possible éxtrémement complexe. Il se joue de tout, s'amuse de blague douteuses et prend plaisir à tourmenter, à faire tourner en bourrique tout ceux qui l'entoure et à jouer avec les nerfs du premiers venu ayant le malheur de tomber sous se smains ou ses yeux pourvu qu'il l'attire un peu. Alors que dans le contraire c'est un homme pragmatique et froid, raisonnant vite et usant d'une précision quasi inhumaine jusque dans ses déductions.
Entrons dans sa tête, si tenté que cela soit possible, un peu plus dans les détails !


" Tout dépend du hasard, et la vie est un jeu "

En effet Kei ne se prendra jamais la tête quand à savoir ce qu'il va faire le lendemain ; il avance un jour à la fois, ne se souciant de rien ni personne. Seul compte sa façon de voir les chose et pour lui s'il se casse un pied c'est simplement que c'était écrit, qu'on ne peut pas aller contre !
Et il joue de tout, du temps, des circonstances, Kei est un eternel profiteur du moindre avantage qu'il soit materiel ou non et il ne regrétte jamais ce qu'il fait ! Il aime les jeux de mots, ennuyer, gêner, c'est un vrai comédien avec une belle tendance à la tragédie qui pourrait vous faire rire comme vous exaspérer aussi vite que lentement ! ses ennemis l'ont en horreur et ses mais pour le peu qu'il en ait ne sont pas toujours aptes à le suivre. Sauf Ruka mais là encore c'est une autre histoire. Dans ce Tokyo de 2027 on ne peux pas prévoir le lendemain, il faut vivre, survivre minute par minutes alors, pourquoi se prendre la tête en projets ? Personnels en tout cas, car pour aller tuer là il calcule. Mais pour lui jamais !

" Le manipulateur est un dealer, il vous livre ses doses, vous rend dépendant et s'enrichit en vous méprisant "

Manipulateur ; oui il l'est, avec tout le monde, et même le peu d'amis qu'il a et a eu sont là pour en témoigner ! Kei use de ses charmes, de mots, de geste, enjole, véxe, trouve la faille et vous pousse dans vos plus secrets retranchements et le pire est bien que ça marche ! Il rabaisse aussi vite qu'il a porté en éstime et se satisfait toujours du resultat si différent selon chacun. C'est sur ce point quelqu'un qu'il vaut mieux avoir en ami qu'en ennemi car Kei sous son sourire peut se réveler d'une rare perfidie et briser un esprit n'est pas si dur car les paroles blessent ; et lui en est assurement un maitre ! Et comme il a souffert même en silence il fait souffrir, capable d'un rare sadisme en particulier avec ses adversaires. Il joue avec le vie sans honte ni autre sentiment du genre et il est du genre à écraser la main de qui se retient de tomber dans le vide. Impitoyable.

" L'argent est un bon valet et un mauvais maître"

Pas cupide pour deux sous au contraire, Kei est dépensier au possible mais pas assez stupide pour laisser son compte en banque virer dans les mauvaises passes, inutile de se faire reppérer ! Il aime se faire plaisir et de temps à autre aime gater les gens qu'il apprécie ! En particulier en vêtements et téléphones. Il aime assez en changer pour ne pas qu'on le retrouve. Puis vraiment, en matière de musique aussi, cd, guitares comme n'importe quoi d'autre s'y rapprochant Kei ne se privera jamais en cette catégorie. C'est son seul passe temps quand il ne s'entraine pas ! Pour la rébélion il a dépensé des fortunes mais jamais ne s'est retrouvé sans un sous ! Il est assez intelligent pour ne pas en arriver à manquer de quoi ce soit.

" Un visage est-il un masque de comédie posé sur la tragédie de l'âme ? "

Assez mélancolique au fond, il peut parfois être gentil et paisible et même si cela est rare si vous arrivez à le toucher il pourra enormement donner. Et parfois dieu seul sait comme ses sourires peuvent dissimuler un passage à vide. Il est sincére, mais pas envers lui même et jamais Kei n'avouera un moment de faiblesse ou de mal-être. Il est trop fier pour ça ! Touché en particulier par la mort de sa soeur et de son seul amour il lui arrive de passer quelques jours à érrer seul pour tenter de faire le vide même si cela est sans grand succé. Il ne se confie pas, garde en lui sa douleur et même bléssé n'avouera jamais qu'il souffre. Les apparences sont trompeuses c'est bien connu !

" La musique est le seul plaisir sensuel sans vice "

La musique, sa seule maitresse de toujours, Kei ne pourrait pas vivre sans elle. Jamais il ne se passera un jour où il n'aura sa dose en la matière et rien qu'au réveil il a besoin d'entendre une chanson ou n'importe quoi dans le style pour aller bien. Par lui ou par les autres, une composition est toujours bonne à écouter ! Et il sait apprécier tout les genre à leur juste valeur. C'est un passionné. En chant comme en guitare il exéle et bien qu'il ne se produira jamais Kei aime écouter. Il est doué mais dans ces temps de guerre il en compte pas faire autre chose que ce pour quoi i éstime être là : Rendre au genre humain sa liberté.

" La fidélité ne s'affirme vraiment que là où elle défie l'absence "

Fidél ? Pour quoi faire franchement ? Vous n'allez tout de même pas lui demander de se limiter à une personne alors qu'il peut en changer tout les jours ? Kei n'est ABSOLUMENT pas fidél ! Jamais ! enfin disons surtout que depuis son grand amour il ne l'est plus du tout ! Il ne souhaite pluss l'être pour personne ! Il charme, profite et laisse tomber ! Principe de ne jamais revoir ses amants qui pourraient s'attacher à lui. Il ne veut plus souffrir par amour, l'amour ne sert à rien l'amour est un poison, il se le rappel trop et sait comme ça fait mal de le perdre. Non ! En fait pour le moment le seul à avoir pû "l'envahir" en tant sois peu et profiter plusieurs fois de sa personne autant qu'il ne profite de la sienne est un jeune homme nommé Matsuda Ryu et qui arrive à le rendre fou de rage comme histériquen le faire rire, et voir parfois l'atendrir. Allez savoir ce qui se passera entre eux dans le futur alors que pour le moment chaque fois qu'ils se retrouvent ils sont à la limite de se tapper dessus en hurlant ...


" Les choses où l'on a volonté, plus elles sont défendues et plus elles sont désirées "

L'alcool, les cigarettes, le sexe, et toute cette armada de chose pecheresses qu'on essait d'interdir, lui il en profite et se vautre dedans ! Il fume comme un sapeur, bois à ne jamais être ivre et pas de la piquette s'il vous plait, la qualitée d'abord, ne se prive pas de coucher avec tout le monde et ne se privera jamais d'une tentation quelle qu'elle soit ! Il l'assouvit toujours sans se poser de question et ne reste pas sur une chose qu'il a desiré ! Même une personne devient un objet à ses yeux s'il la veut. Rste à ne pas se faire prendre dans ses filets. Aprés tout, les autres joues avec la vie donc pourquoi pas lui ?

Pour conclure ajoutons simplement qu'en plus de tout ça il a une facheuse tendance à jouer les dominateurs ! Assez sadique voir pervers au lit il aime le jeu, cela se ressent dans tout ce qu'il fait. Chose insoupsonnable, il n'est pas mauvais cuisinier ... Sauf que vu le nombre de fois ou Ryu débarque chez lui pour se faire nourrir à l'oeil il aurait dû choisir autre chose comme talent !! Et que c'est un extrémiste qui ne sait pas faire les choses à moitié. Plutôt content de son physique il aime à rappeller aux ignorants, (surtout les monstres) qu'il leur est supérieur ! Mais rappellons aussi qu'il a beaucoup changé, que la noirceur en lui est venue avec le temps et quand vraiment le chef de la rébélion s'énerve il vaut mieux éviter d'être là ... Plein de surprise et de contradiction avant d'être adorable ou détéstable, que dire ? C'est Kei tout simplement ... Ou malheureusement !



Relation :

Kei n'est pas franchement pour les relation ! Il est du genre à avoir un mal fou à garder le contacte avec les gens qu'il rencontre. Assez solitaire il ne se confie pas, n'accepte pas qu'on lui pose des quéstions et au final, se révéle même froid et déplaisant avec les gens sous ses sautes d'humeurs. Il est éxtrémement difficile d'approche et ils sont peu nombreux à avoir brisé sa cuirasse peu engangeante pour le voir comme un allié ou un ami. D'ailleurs peu lui font confiance car sa nature pour le moins changeante et imprévisible face à certaines situations en font un homme dangeureux. Le seul qui parvient à peu prêt à lui coller aux basques sans se faire jetter et sans s'inquiéter de sa façon d'être est un jeune homme nommé Ryu. Ils se chamaillent, toujours en train de hurler sur des bétises quand ils font pas l'amour mais sans ça, malgré tout Kei doit bien avouer que la présence de ce jeune dans sa vie qu'il a rendu si hermétiques sauf à son ami d'enfance Ruka, lui fait du bien et il ne laissera personne toucher à son amant dans de mauvaises intentions ça non !





Dernière édition par Suzano Kei le Mer 24 Déc - 13:38, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Suzano Kei

Suzano Kei

Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 19/12/2008

Feuille de personnage
STATUT ::
LIENS : :
CLAN ::

# Suzano Kei # Sadistic Killer Vide
MessageSujet: Re: # Suzano Kei # Sadistic Killer   # Suzano Kei # Sadistic Killer Icon_minitimeMer 24 Déc - 12:49



#Histoire d'une vie


Histoire :


~°Flash Back Open°~

_ Ne Kei ....

La voix épuisée, un souffle cassé par la manque de sang, sang s'écoullant des larges sillons laissé sur sa peau claire. Kei se pencha vers le visage du mourrant, posant une main sur son front alors que sa main tenait fermement la sienne.

_ Chut ... Ne parle pas ! Les secours vont arriver, ça va aller ! Mais reste calme !

Son ton était tendre, mais résolu, comme s'il croyait si fort à ces mots pourtant au combien inutiles, il le savait au fond de lui. Mais il se refusait de penser que c'était bientôt fini, que le rêve qu'il avait touché du bout des doigts allait s'éteindre, allait s'achever là, dans ce bain de sang, dans le sang de celui qu'il aimait.

_ Kei ... tu sais bien qu'on ne peut plus rien faire ! Laisse moi ... Laisse moi parler !

Kei mordait sur ses dents retenant les armes si lourdes qui étreignaient son coeur comme un étaut. Il ne pouvait pas accepter ! Il ne pouvait pas se dire que là, tout de suite son petit ange allait partir, partir si loin que plus jamais, jamais il ne pourrait le tenir dans ses bras ; plus jamais il ne sentirait sa peau froller la sienne, plus jamais il n'entendrait ces phrases si douces, ces ordres suppliant pendant l'amour, plus jamais sa présence, ses rires son sourires, sa joie de vivre ...

_ Non !! C'est pas trop tard ! Tu vas vivre tu m'entends !!! Tu vas t'en sortir et ... Et quand tu seras sur peids on partira ! Loin, loin d'ici je te le jure !

Le jeune homme allongé ferme briévement les yeux, lachant un petit rire à travers un soupire. Sa bouche se plissa dans un sourire, puis il fixa son amant, sa main remontant caresser la joue bléssée de ce dernier, touchant ses cheveux.

_ Kei ... Tu es beau quand tu y crois si fort ! Quand c'est toi qui me parles je croirais tout ! Si tu savais, si tu savais comme tu m'as fait voyagé ! J'avais rien connu, rien du tout ! Juste les taloches de ma mère quand elle rentrait bourrée ! Kei, mon amour, mon prince, aurais-je rêvé un jour sans te connaître ?

Kei gardait sa main entre la sienne, ses lèvres glissant sur celle qui caressait son visage pour l'embrasser. Il sentait les larmes venir, mais faisait un effort énorme pour ne pas craquer.

_ Arrête ! Dis pas de conneries ! Je suis loin d'être parfait et je t'ai entrainé dans toutes mes embrouilles en plus !

_ Et alors ? Je me suis amusé ! Dis ...Kei ... Promet moi ... De pas vivre dans mon souvenir ! Refait ta vie ! Il y en a un autre, quelque par qui t'aimera comme je t'ai aimé ! Ke...i tu sais ... Tu sais que je t'ai...tellement aimé. Et ... Je ...pardo..nne.. moi ...

_ Tais toi ! Je t'en pris arrête !! Tu te fatigues ; mais ça va aller !! Je t'en supplis, repose toi arrête de te forcer !! Hé ...

Dernier soupire, dernier murmure,ses yeux se fermérent, à jamais ... Son visage si froid maintenant réste doux pourtant. Kei pleure à chaude larmes, il n'avait jamais pleuré autant, pleuré de tout son coeur depuis son enfance où sa soeur est morte quand il avec dix sept ans. Il serre le corps inérte dans ses bras, s'excuse, s'excuse encore de ne pas avoir été là. Si seulement il était arrivé plus tôt ... Si seulement ... Si seulement les monstres n'avaient pas éxisté !! Un cri, hurlement de tristesse à travers la brume chargée d'une odeur de cuivre en ce matin de décembre.

La neige tombe, mon amour mon ange, tu l'aimais tellement ...
Elle lave le sol de ton sang et du leur, mon amour, j'aurais voulu t'aimer encore
Je t'aimais, je t'aime tant ! C'est le vingts quatre ce soir et je t'enterre.
Joyeux Noël ....


~°Flash Back End°~

{ Suite poste suivant }

Revenir en haut Aller en bas
Suzano Kei

Suzano Kei

Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 19/12/2008

Feuille de personnage
STATUT ::
LIENS : :
CLAN ::

# Suzano Kei # Sadistic Killer Vide
MessageSujet: Re: # Suzano Kei # Sadistic Killer   # Suzano Kei # Sadistic Killer Icon_minitimeMer 24 Déc - 12:51




{suite}

Allez pas de souci ... La crise de larme est finie rangez vos mouchoirs !
Vous en fait pas, c'était le second et dernier vrai drame de ma vie. Ma vie, enfin, disons de la suite d'événement qui m'a servit de vie. Je n'ai pas à me plaindre, disons simplement qu'elle aurait pû être pire, mais être bien mieux aussi !

Ma naissance, parait-il fut assez compliquée et ma mère a souffert comme pas permis pour me mettre au monde, pleurant tout ce qu'elle savait quand le petit être qu'on parvint enfin à éxtraire de son corps ne respira pas. On m'a mit sous oxygéne, immédiatement prit en main par l'armada d'infirmières de la petit clinique campagnarde non loin de là où la famille avait toujours vécue. Quand enfin on me décréta hors de danger, ma mère pû rejoindre l'espéce de ferme où nous vivions. Mon père élevait des chevaux, de superbe bête dont je garde le souvenir le plus interessant surement ! J'avais une petite soeur peu aprés, Yuri de deux ans ma cadette je l'adorais. Comment dire, on était les deux doigts de la mains, toujours ensemble pour faire des bétises, on en a fait voir à nos parents plus que tout ce qu'ils imaginaient surement.

On allait à l'école du quartier, avec des gamins de toutes les trempes, on se chamaillaient, on jouaient, c'était les occupations de tas gosses, on profitait, comme tant d'autre de chaque jour qui passait. On a grandit, aidant le père avec ses chevaux, rejoignants les villes un peu plus grandes pour voir à quoi elles ressemblaient pendant les vacances avec Ruka, un ami qu'on s'était fait en primaire et dont les parents connaissaient parfaitement les notres. On voulait voir Tokyo tout les trois ! Un jour, sa tour, ses lumière, ses écrans géants tel qu'on les voyait à la télévision, on voulait rêver. Mais vous le savez bien vous aussi : que le rêve a un prix ...

Les parents tardaient à rentrer ce soir là, on fêtait mes seize ans. Avec Yuri et Ruka on avait préparé la table, en chantant, on riait, on a joué sur la console pour patienter. L'horloge, ses aiguilles ont tourné, tourné mais jamais on ne les a vu revenir. Notre grand père paternel habitait Tokyo, il nous a emmené là-bas aprés l'enterrement et a bien voulu accueillir Ruka, orphelin comme nous. Avec cet homme docker à la retraite on vivait en bord de mer, pas très riches mais pas malheureux. On est entré dans cette famille que sont les dockers avec son aide et on a vraiment bossé pour ramener l'argent pour nous faire vivre ma soeur et moi, pour éviter de trop utiliser la retraite de grand père. On a pas su à l'époque ce qui avait causé la mort de nos parents, c'était très flou, on parlait d'un grave accident de la route, qu'ils avaient été très abimés à tel point que personne n'avait pû les voir pour se recueillir dans la famille mais moi comme Ruka, avons toujours été persuadé que cela cachait quelque chose !

Comme cette histoire que nous avions vécu mon ami d'enfance et moi. Tout gamins Ruka avait décidé de rentrer seul de l'école un soir tard aprés l'étude quand le bus n'était pas venu. Je ne me sentais pas tranquile de le savoir seul si tard, surtout qu'on disait qu'une bête avait tué des brebis non loin et qu'il fallait être prudent. Je courais pour le retrouver, faire le chemin avec lui aprés avoir raccompagné Yuri. Et là je le trouvais dans le fond d'une ruelle, menaçé par cette homme étrange aux dents acérées. Je le reverrais toujours penché sur mon ami, et j'ai sortit le couteau caché dans ma poche. Le temps de le déplier et ... quand j'ai réalisé ce que j'avais fait il était là allongé devant moi, le dos transperçé de mes coups et la gorge tranchée. Puis comme par magie, il tombait en poussiéres dans les secondes qui suivirent. Notre secret, et le secret de notre lien si fort à Ruka et moi.

Dix sept ans de vie pour moi. Un soir comme un autre, Ruka et moi avons prit ma moto pour rentrer aprés le travail. On a fait un petit détour, le temps d'aller chercher un petit truc qu'on avait commandé pour le soir chez un traiteur chinois. On est rentré et là, une porte s'ouvrait sur un autre cauchemar. Tokyo est belle des dehors, mais si vous saviez comme cette ville est cruelle, elle vous ouvre les bras pour les resserer et vous étrangler, c'est un cercueil géant ...

Un carnage chez nous comme chez plusieurs autres maison des environs, du sang, partout, des meubles brisés, des murs écroulés. Grand père, si je ne voyais pas lalliance que tu n'avais jamais voulu quitté je n'aurais même pas sû qui tu était, trop déffiguré. Petite soeur pourquoi es tu étendue là ? Pourquoi tes yeux emplis de larmes sont-ils pourtant si vides, petite soeur ... Pourquoi chez toi la vie s'est enfuie ? J'ai pleuré, la gardant contre moi comme si ce seul geste aurait pû la ramener. Yuri, petit fleur de lys pourquoi toi ? Pourquoi t'avoir fait si mal ?

La rage me pourrissait, je n'étais plus vraiment. Et je crois que ce soir en moi, est nait une haine sans fin. J'ai changé, indéniablement, la pité et la compassion sont des luxe que je ne connais plus ! Et aprés ce drame, tout changea.

Je commençais à les traquer, je cherchais encore et encore le meurtrier de notre dernière famille à Ruka et moi. On ne se quittait pas, à la chasse chaque nuit, arme au poing parce que plus rien ne comptait mis à part le froid sentiment de vouloir leur mort. On les a décimé par ordre de force pour commencer, bous même trop jeune pour bien savoir mais le temps passe, l'experience s'acquiére ! J'ai choisi le fouet, comme symbole d'une punition, et l'arme ne me quitta plus, toujours à ma porté même si je passe une soirée avec l'un de ces amants dont j'ai oublié le nom.

J'ai vieilli comme tout le monde dans ce carcant sanglant, survécu à des carnages d'où je sortai vivant mais plus noir encore, le sang appel le sang, c'est connu. Cela dura trois ans, trois ans à ne les traquer qu'à deux Ruki et moi. Puis une idée ma vint. Nous ne vivions nul part, un coup dans un hotel, un coup chez qui voulait bien nous héberger. Mais un jour, je voyais un peu avant la sortit de la ville une route descendant vers la mer. Le port déclaré trop vieux ne servait plus depuis longtemps, plus de bateaux et les quais s'étaient en partie éffondrés. En revanche, même peu stable les entrepots, garages et autres tronaient comme en souvenir de leur époque et restaient là tel des batiment fantomes que l'on a oublié.

_ Ce sera là ! Ruka ... Organisons la rébélion !

La rébélion, un grand mot mais important vu les circonstances. Nous n'étions pas de la nourriture érrante qu'on utilise quand l'envie nous prend non ! Pas question de ça ! Oui, de la rébélion. Certains humains sont des trésors à ce domaine ! Bien sur nous ne sommes pas la milice sur-entrainée des Karyuudo mais on se débrouille ! Les soldats tuent les monstres par principes mais nous les tuons pour assurer la sécurité des notres ! La différence est là. Et le Kira, je l'ai vu, une fois. Ce type est fou, à sa façon mais ce tyran ne doit jamais mettre la main sur la ville sinon ... Il prendra le Japon entier un jour c'est inévitable !

La vie suit son cours, c'est partout pareil. Et à notre façon nous sommes devenu une menace, une gêne pour tous, bien, tant mieux c'était ce que je voulais ...

C'est facile de vivre en fait, se nourrir, se loger, et même trouver de quoi se distraire. Je me souviens le quartier des plaisirs, rebatisé par les gens en fait, le lieux où la débauche est maitresse. Des prostitué, des gosses ils ont quoi ? Dix huit ans et déjà drogué jusqu'à l'os, poussé sur le troitoir par ces débile qui veulent se faire de l'argent. Lamentable, certains humains ne valent pas mieux que les monstres qu'ils blament. Mais j'en ai eut beaucoup dans les bras, me débrouillant pour que jamais l'argent que je leur donnais ne soit pas pour eux. Ha mais que la vie était lassante ...

_ Tu te fais chier hein ?

_ Non tu crois ?

Ruka avait toujours la bonne phrase qui vous balance vos idées même les plus refoulées au visage. Mais j'aimais ce trait de sa personnalité. En fait, j'aimais Ruka, mais pas au sens où vous l'entendez sans doute. On vivait ensemble, chacun son appart dans les entrepots. On réstait peu éloignés l'un de l'autre quand on s'ennuyait, c'était comme ça.

_ On baise ?

_ Va te faire foutre !!!

Il me répondait toujours comme ça, il savait que je déconnais, que c'était juste pour dire de parler, de passer le temps qui courrait trop lentement dans cette ville on survit, où on ne profite pas, où on ne profite plus ! On ne s'est jamais touché une fois, juste quelques baisers voler pour s'embêter mais rien de sérieux, on est le meilleurs amis du monde. Etrange hein ? Alors qu'on préfére les hommes et qu'on s'entend si bien ! Mais non voilà, rien du tout, on y pense même pas !

Niveau coeur, amer m'était un sentiment étranger, un truc sans vrai fondement que je ne comprenais pas ! J'entendais des gens murmurer des "je t'aime" avant de s'embrasser. Mais pourquoi ? Comment ? Je finissais par oublier mes interogations et noyais mon ignorance de tout ça dans un bar où j'avais mes habitude, et où l'alcool ne semblait jamais très fort. J'écoutais une musique à la mode d'une oreille distraite, sans vrai envie alors qu'une main se posait sur mon épaule. D'ordinare je me serait retourné pour foutre un pain à qui venait de m'aborder si familiérement mais là non, je le regardais, simplement, rencontrant ses yeux couverts de lentilles turquoises et ses cheveux décolorée en un blond très pâle. Outrageusement moulé dans une combinaison rouge il semblait à l'aise, et son sourire confiant inspirait une sorte de joie communicative.

_ T'es seul ?

Je souriais, sans vraiment m'interesser à lui mais en même temps ne pouvais l'ignorer.

_ Ouais ! J'attendais quelqu'un mais il m'a posé un lapin !

Les réponses d'ordinaires étaient des "ben je vais le remplacer alors !" ou alors quelque choses du genre "donc tu es libre pour que je te tienne compagnie"... Je m'attendais à ça, quéstion d'habitude !

_ Ben c'est que t'étais pas assez interessant pour qu'il se souvienne de toi ! T'as merdé !

Il s'était assit, la bouche en coeur en commandant un soda trop sucré et en ne me calculant plus trop, blaguant avec le barman. Je réstais scotché. C'était ... Tellement innatendu que pour la première fois j'étais sincérement surpris ! Attendant que l'homme s'en aille je souriais et l'interpellé cet inconnu à la langue trop bien pendue.

_ Non mais dis ! On dit bonjour quand on aborde les gens d'abord ! Mal élevé !

_ T'as un fouet à la ceinture ! Corrige moi !

Je le revois encore, prendre son verre du comptoire, se glisser contre moi et sussurer ça à mon oreille avant de s'éloigner vers le fond de l'établissement en me jettant ce regard si profond. Je l'ai suivit, c'était un jeu ... On y a joué, à ce bruler mais pour le plus grand plaisir !

Première fois peu aprés, dans ma voiture ce soir de pluie alors qu'on s'était charrié sur tout et rien toute la soirée. Il me fallut du temps pour comprendre que je l'aimais. On a vécu tellement de bon moments complices, on était si bien à deux. On avait fait quelques projets, je ne me reconnaissais plus. Je vivais, respirais pour de bon ; pour moi ! Comme c'était doux d'éxister à travers lui, de le prendre contre moi, de réspirer son parfum. Ha comme je l'aimais mon ange ...

Vous connaissez la suite, je l'ai perdu il y a maintenant prés de sept ans. Ca fait mal, trop mal. Et depuis lors je n'ai jamais été plus cruel, plus débauché, plus sadique envers tout et tout le monde sous ma main. J'ai perdu mon coeur et le réste d'humanitée qui me réstait avec lui, tout s'est évaporé,le côté le plus noir s'est éveillé. Je ne l'aime pas, ne veut pas le sentir venir mais c'est comme ça. Mes crises de folie, ma démence cachée sous ce masque souriant. Je ne laisse personne envie dans ces instants, je tue, je tue encore et encore ; n'arretant que lorsque le dernier soupire autour de moi est rendu.

Je ne pourrais pas revenir en arrière, la joie est un luxe, la paix une illusion, je ne crois plus n'espére plus, n'attend plus. Le temps suit son cours, c'est comme ça, j'avance, je veux libérer cette ville ! Qu'ils n'y ai plus de cette guerre, de ces tueurs qui n'ont de césse de me prendre ce à quoi je tiens. Mais lui ...

Lui il ne le prendront pas ! Pas quéstion !


Le chef de la rébélion referme son journal, laissant sa main glisser sur la couverture de cuir le recouvrant. Il enléve ses lunettes, les pose sur le bureau et jette un oeil sur le lit dérrière lui. La chaise pivote, il observe le corps alangui dans ses draps. Il se léve, va s'asseoir sur le rebord du matelas. Sa main glisse le long des épaules de l'endormit, caressant la peau froide en raison du manque de chauffage des lieux. Puis glisse sur son bras, ses hanches ... Il ne veut pas qu'on lu enléve mais dément ses sentiments à son égard. Comment dire à quel point il ne veut plus souffrir par amour. L'homme le dévisage tendrement, cette épression dont-il use si peu, jamais même ! Il se penche, l'embrasse sur le front. Amaya ... Matsuda Amaya ... Il ne le perdra pas ! Celui qui lui enleve ou même qui tente sera le premier à souffrir vraiment !

Mais pourquoi s'attacher à lui ? Ils ne font que se prendre la tête, que s'accrocher, se frapper à l'occasion quand ça va trop loin. Il ne se passe pas une fois sans un hurlement. Même quand ils font l'amour ce n'est pas doux ! Ils sont amants, ne peuvent se détacher mais à quel prix ? Ils se bouffent l'esprit à essayer ... Essayer de construire comme un lien entre eux. Kei se mord la langue, il se refuse à s'attacher, mais alors pourquoi faut-il qu'il ne parvienne pas à s'éloigner pour de bon ; à le laisser ? Mystére ...

Kei laisse tomber la serviette qu'il avait noué à ses hanches et se glisse dans le lit, passant un bras à la taille de son amant. C'est comme ça ... Ca ne changera pas et il n'y peut rien ...


#Détails

Manie ou tics :
• Il devient incotrolable autrement que par lui même quand le combat se prologe
• Chaque ennemi tués par ses soins se voit la gorge ouverte à coup de fouet
• Il ne supporte pas le désordre et range tout objets qu'il ne juge pas à sa place
• Il fume chaque fois qu'il se sent mélancolique

Orientation sexuelle : Homosexuel
Autre/Signe particulier :
• Porte de nombreux tatouages pour couvrir ses cicatrices
• Il est assez sadique sous le coup de l'éxitation
• Il fume comme un pompier

Personnalité sur l'avatar : Hakuei

# Vous

Surnom : Eri
Age : 2000 ans
Moyenne de connexion : Je suis toujours là pour vous hanter !!!
Moyenne de lignes par rp : Un vingtaines de lignes grand minimum à plusieurs pages word !
Comment avez-vous connu le forum : Je l'ai fait !!! Adimin supréme here !
Comment trouvez-vous le forum : JE VOUS AIME !!!!!!!!!!!! Mes mebres sont merveilleux !! ^."
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




# Suzano Kei # Sadistic Killer Vide
MessageSujet: Re: # Suzano Kei # Sadistic Killer   # Suzano Kei # Sadistic Killer Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

# Suzano Kei # Sadistic Killer

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum: Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: # Personnages # :: Les Partisants de la Guerre
 :: + Fiche Personnage + :: +Fiches Validées+ :: + Fiches Admins And Modos +
-